Vaccination
Communiqué de la SFP de fin Mars à propos de la vaccination chez les enfants : les indications à la vaccination sont exceptionnelles.. mais nous craignons un changement de position à venir des sociétés savantes pédiatriques, sous la pression médiatique, gouvernementale, et pharmaceutique. C’est pourquoi il est important de rappeler que l’acte médical doit être en premier lieu dans l’intérêt de l’enfant. En tant que médecins et parents, nous pensons que c’est à l’adulte et la société de protéger l’enfant, et non l’inverse. La vaccination dite « altruiste » n’a pas sa place en pédiatrie.
SARS COV 2 = Pourquoi vacciner les enfants ?
1-L’objectif de la vaccination de masse est la prévention de maladies graves et/ou très contagieuses et/ou pour lesquelles il n’existe pas de traitement et requiert une sécurité maximale.
Or, les statistiques montrent que :
- Les enfants ne développent pas de formes graves de la Covid 19. Ils représentent moins de 0,1% des hospitalisations des adultes et leur mortalité est très faible (6 morts en France d’enfants de dont certains étaient porteurs de maladies chroniques, contre plus de 85 000 adultes). [1] [2] [3] [4] [4’]
- Les enfants ne sont pas ou peu contagieux: plus de 1 500 articles, cités par PubMed, concernent la transmission éventuelle de la COVID 19 par les enfants. Aucune des études rapportées ne démontre la transmission d’un enfant à un autre enfant ou d’un enfant à un adulte dans le monde [5] [6]. Aucun cluster n’a été identifié dans les écoles, les tests de dépistage sont rarement positifs, les enfants sont le plus souvent contaminés par des adultes ou en milieu intrafamilial [7] [8] [9] [10]
2-Que sait-on des vaccins commercialisés en France (Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson) mis sur le marché.
- Les vaccins Comirnaty® de bioNTech-Pfizer et Moderna® sont fabriqués à partir de l’ARNm (ARN messager) du Sars Cov2 encapsulés dans des nanoparticules [11] [12]
- Concernant, les vaccins Vaxzevria® d’AstraZeneca et Janssen® de Johnson & Johnson, un fragment d’ADN, synthétisé à partir de l’ARNm du SARS Cov2 et codant la protéine Spike (protéine de surface du virus SARS Cov2) est inséré dans le génome d’un adénovirus de chimpanzé (pour Vaxzevria d’AstraZeneca) ou humain (pour Janssen® de Johnson & Johnson). Ces vaccins ont un ADN génétiquement modifié, ces vaccins sont des [13]
Dans les 2 cas, les cellules humaines se mettront à fabriquer de la protéine spike. Le devenir de ce matériel génétique inséré dans nos cellules est encore méconnu.
Ces vaccins sont toujours en cours d’essai clinique à l’heure actuelle. Par exemple, l’essai Pfizer est en cours et ne sera pas terminé avant 2023. Chaque sujet vacciné participe donc à un essai de phase III. Ils disposent d’une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle. Les études cliniques sont inhabituellement accélérées (moins d’un an versus plusieurs années en général)
Ces vaccins COVID démontrent au fil du temps de nombreux effets indésirables répertoriés, à l’échelle de l’Union Européenne, sur le site officiel ADRreports.eu (‘Adverse Events Reports’) et rapportés sur le site de RéinfoCovid [14] :
Les effets indésirables totaux s’élèvent (en moyenne pour les trois vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca) à 344 pour 100 000, versus 14 pour 100 000 avec les vaccins contre la grippe.
- L’anaphylaxie, déjà constatée en début d’utilisation des vaccins à ARNm, probablement liée à la sensibilisation au polyéthylène glycol (PEG) présent dans les seringues vaccinales des produits BioNTech-Pfizer® et Moderna®. Le PEG est utilisé comme vecteur pour prolonger la demi-vie des brins d’ARN m [15].
- Les phénomènes thrombotiques apparus à la suite de la vaccination AstraZeneca en majorité chez des sujets jeunes et qui pourraient être dus à une forte réponse immunitaire et la production d’anticorps spécifiques contre les plaquettes sanguines [16]
- L’apparition de phénomènes ADE post-vaccinaux (ADE, antibody-dependent enhancement) ‘’aggravation dépendante des anticorps lors de réinfection ou de primo-infection, en dépit d’une vaccination ‘’ [17] qui a conduit à l’arrêt du vaccin contre la dingue après 15 décès d’enfants de 3 à 8 ans.
- Les décès: eu (‘Adverse Events Reports’) fait état de 272 morts soudaines versus 80,5 millions de vaccinés en Europe, soit 3,38 par million [14]
Les effets à long terme : Les ARNm vaccinaux se distribuent dans une grande variété d’organes, dont les organes reproducteurs ou gonades
- Risque de stérilité par immunisation croisée possible avec une protéine cruciale la syncitine impliquée dans la nidation.
- Carcinogénicité, tératogénicité ?
- Maladies auto-immunes, infectieuses et inflammatoires post-vaccinales ?
Dans l’autorisation de mise sur le marché des vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna, il existe un paragraphe dédié à l’étude de bio distribution du vaccin. Ces documents, répertoriés sur le site de RéinfoCovid [18] sont publics et accessibles sur le site de l’Agence Européenne du Médicament (EMA) à ces adresses :
*AMM conditionnelle Pfizer : https:/www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/comirnaty-epar-public-assessment-report_en.pdf
*AMM conditionnelle Moderna : https:/www.ema.europa.eu/en/documents/assessment-report/covid-19-vaccine-moderna-epar-public-assessment-report_en.pdf
Dans ces deux documents d’AMM conditionnelle du Vaccin Pfizer/BioNtech et du vaccin Moderna, il est clairement noté que :
- Les ARNm encapsulés dans des nanoparticules lipidiques atteignent de nombreux organes : rate, cœur, les reins, poumons, cerveau.
- Les ARNm ont été retrouvés dans les ovaires et les testicules en quantité faible lors des études de bio distribution de ce vaccin.
3-Quels bénéfices pour votre enfant de la vaccination au SARS CoV2 ?
Eviter d’être malade ? gravement malade ?
La covid, nous l’avons expliqué plus haut, n’est pas une maladie pédiatrique, les enfants sont peu malades et font rarement des formes graves.
- Avis de la SFP (Société Française de Pédiatrie)
La vaccination de masse n’apportera aucun bénéfice à titre individuel aux enfants en bonne santé concernant cette maladie qui les touche peu et qui est rarement grave pour eux.
Et, selon l’avis de la SFP (Société Française de Pédiatrie)
‘’A ce jour, cette vaccination n’apparait pas comme nécessaire chez l’enfant en population générale.’’ [19]
- Avis du COSV (Conseil d’Orientation de Stratégie Vaccinale)
Or, le rapport du COSV [20] justifie la nécessité collective de vacciner les enfants par un rationnel théorique ! ‘’ il faudrait atteindre une immunité dans la population de plus de 75% incluant les enfants, ce qui correspond à une population de 50,25 millions de personnes (incluant les enfants) sur une population de 67 millions’’….
Pour justifier cette recommandation, le CSOV met en avant la notion de bénéfice individuel :
‘’Si les enfants sont peu touchés par des formes sévères de la Covid-19, on peut néanmoins souligner que, depuis le début de l’épidémie de Covid-19 et au 27 avril 2021, 434 enfants ont développé suite à une infection au SARS-CoV-2 un syndrome inflammatoire multi-systémique (MIS-C ou PIMS) ressemblant au syndrome de Kawasaki et ayant nécessité hospitalisation et traitement, soit 29,9 cas par million d’habitants … La vaccination offrirait une protection contre ces syndromes inflammatoires multi-systémiques pédiatriques, et contre les quelques formes de Covid long de l’enfant impliquant des symptômes persistants…’’ .. (on notera qu’il s’agit de 0, 003% de la population des moins de 18 ans.)
Proposition à mettre en regard du nombre de morts soudaines, en Europe chez les 18-64 ans vaccinés (19 par le vaccin Pfizer, 13 par le vaccin Moderna et 18 par le vaccin AstraZeneca) [14]
Ces recommandations répondent-elles à la nécessité vaccinale qui est rappelons-le, la prévention de maladies graves, ce qui n’est pas le cas pour l’enfant, qui, de plus, n’est pas transmetteur.
4-Droit de l’enfant :
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) « La maltraitance de l’enfant s’entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ ou affectifs, de sévices sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d’exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité dans le contexte d’une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir. » [21]
Or, la vaccination massive des enfants peut-elle être justifiée par un rationnel théorique [20], alors que l’intérêt primordial de l’enfant devrait répondre à une première exigence qui est de ne pas nuire ‘’primum, non nocere’’ et ne pas prendre le risque ‘’d’entraîner un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité…’’ [21]
Par ailleurs, au-delà des effets secondaires présentés plus haut, on ne peut ignorer le taux d’effets indésirables, par exemple avec le vaccin Pfizer : (0,23% des sujets vaccinés), d’effets indésirables graves (0,040% des sujets vaccinés) ni ignorer le taux de morts suspectées en lien avec l’injection du vaccin : 1,4 pour 100 000 dont 0,35 morts soudaines pour 100 000 sujets vaccinés [14]
Où sont les droits des enfants dans ces conditions ? Où réside le respect minimum que l’on doit à son intégrité physique et morale ?
En conclusion,
Est-il raisonnable de vacciner votre enfant qui est en bonne santé, pour de fausses raisons, avec un vaccin expérimental dont les effets secondaires immédiats sont importants et les effets secondaires différés pourraient être irréversibles ?
Références :
[1] Communiqué de la présidente de la SFP, le professeur Estelle Gras-Le Guen (Mars 2021) https://theconversation.com/un-an-plus-tard-que-sait-on-de-linfection-des-enfants-par-le-coronavirus-sars-cov-2-156600
[2] Hong H, Wang Y, Chung H-T, Chen C-J, Clinical characteristics of novel coronavirus disease 2019 (COVID-19) in newborns, infants and children, Pediatrics and Neonatology, https://doi.org/10.1016/j.pedneo.2020.03.001.
[3] Wu Z, McGoogan JM. Characteristics of and important lessons from the coronavirus disease 2019 (COVID-19) outbreak in China : summary of a report of 72 314 cases from the Chinese Center for Disease Control and Prevention. JAMA 2020 ; published online Feb 24. DOI :10.1001/jama.2020.2648
[4] Jonas F Ludvigsson macroanalysis of Covid 19 in children. Acta Paediatr. 2020 23 mars
[4’] https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-france/
[5]https://www.eurosurveillance.org/content/10.2807/1560-7917.ES.2020.26.1.2002011
[6] https://www.ecdc.europa.eu/en/publications-data/children-and-school-settings-covid-19-transmission
[7] Etude suédoise, janvier 2021, avec les écoles restées ouvertes
https://www.nejm.org/doi/10.1056/NEJMc2026670
[8] Etude américaine, avril 2021, sur près de 100 000 élèves https://pediatrics.aappublications.org/content/pediatrics/early/2021/01/06/peds.2020-048090.full.pdf
https://pediatrics.aappublications.org/content/147/4/e2020048090
[9] Etude canadienne, avril 2021
https://www.cmaj.ca/content/cmaj/early/2021/04/09/cmaj.210263.full.pdf
[10] Etude anglaise, mars 2021 https://www.SARS-CoV-2 infection and transmission in educational settings: a prospective, cross-sectional analysis of infection clusters and outbreaks in England – PubMed (nih.gov)
[11] https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/658-comimaty
[12] https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/656-moderna-mma-1273-covid
[13] https://www.mesvaccins.net/web/vaccines/650-oxford-chadox1-covid
[15] https://francais.medscape.com/voirarticle/3606753
[18] https://reinfocovid.fr/science/les-arnm-vaccinaux-atteignent-les-organes-reproducteurs/
[19] https://www.sfpediatrie.com/actualites/avis-relatif-vaccination-contre-covid-19-pediatrie